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Le PoissonClown

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Tout ce qui a été posté par Le PoissonClown

  1. Non c'est tout rond, ça marche pas, ça roule ! Bouuuuummmm !!!! … J'avoue : pas très pratique les céréales en boule.
  2. Bonjour et bienvenue ici ! As-tu essayé la méthode 2 ?
  3. Ah bon ? Mais alors tu n'as pas de graveur DVD ? Parce que sinon, tu peux télécharger, puis graver le média d'installation de Windows 7 directement ! Cette version intègre plus de pilotes génériques que XP. Il est possible que ça fonctionne alors en mode normal…
  4. En effet. [Edit : ça à l'air d'être le blog du développeur.] Le site officiel [vitrine] avec les dernières versions est ici : https://www.ntlite.com/download/
  5. Bon !!! Je crois qu'il va falloir passer à la démonstration !
  6. Salut ! Je n'ai trouvé aucun pilote Windows 10 pour cette carte-mère. Et le constructeur n'en a prévu aucun. Il y en aurait pour Windows 8, je te proposerais d'essayer, mais là, les derniers sont pour Vista, c'est mort !
  7. On voit bien que t'as pas l'habitude : il faut toujours mettre sa cuiller à l'envers et verser le lait dessus. Et si t'as oublié la cuiller, tu verses contre le bord, c'est pareil. Les céréales flottent, OK, mais pas en agglomérat comme lorsque tu verses les céréales dans le lait. En plus, c'est pas homogène : si t'as un gros paquet de céréales qui tombe, t'en fiches plein partout.
  8. Bah c'est très simple : tu lances Nlite, tu renseignes l'emplacement de ton fichier .ISO, tu vas jusqu'à la partie Intégration - Driver, tu ajoutes le Zip du pilote et tu n'as plus qu'à terminer : il te génère un ISO qui intègre tes pilotes. Si tu ne veux pas utiliser Nlite, il faut décompresser le Zip comme tu as fait, trouver le bon pilote, et l'ajouter dans le boot.wim, mais ça demande plus de précision, et c'est évidemment plus complexe.
  9. En fait, la technique n'est rien sans le conditionnement psychologique. On perd en moyenne 60 à 80% de ses moyens sur le terrain, à cause de la panique. C'est pour ça que je trouve extrêmement dommage que les arts martiaux n'intègrent pas une part importante de travail psy et d'hypnose (l'hypnose permet de bosser beaucoup plus rapidement le conditionnement psy). Ou en tout cas c'est une extrême rareté d'y trouver ce travail pourtant essentiel. Si tu ignores pourquoi il renonce à 500K€, il y a un doute, et donc dans l'urgence, c'est normal que tu t'exécutes. Par contre, si c'est clairement un préjudice à la boite, moi je donne la place à un autre si j'en ai la moindre occasion. Hé ! Mec, le boss veut que je casse la boutique, tu veux pas le faire ? … Nan mais te fâches pas ! C'était juste pour savoir ! Quand le chef verra que personne ne veux faire le sale boulot, il se posera des questions. En fait, tout dépend de la marge de manœuvre à ta disposition. En l’occurrence, si une simple remise en question = du trou, bah tu ne l'as pas vraiment, la marge de manœuvre. C'est certain. C'est même le cas dans tous les domaines. Mais je ne sais pas si tu te rends compte de l'étendue de la préparation aux cas de crises et aux conflits : on ne devient pas militaire en 15 minutes. L'entraînement, la recherche, l'investigation… Tout ça, c'est de la prévision. Tout est sensé être pensé, réfléchi, pesé d'avance. C'est dans ce sens-là que je dis que "prévoir" dans le milieu de la défense, c'est la base de la base. Il y a un dicton samouraï qui dit : la bataille de demain se gagne ce jour d'entrainement. Dans la sécurité c'est pareil : toute la mesure et la réflexion est sensée être faite avant intervention.
  10. À priori, la carte fonctionne. À voir maintenant si tu as un accès IP au Net : ping 8.8.8.8 Et si oui, c'est un problème DNS (il faudra vider le cache ou chercher plus loin). Si non, c'est soit un souci de pilote, soit un blocage (antivirus ? pare-feu ?). En relisant, j'évacue la piste du canal wifi parasité, puisque tu arrives à te connecter avec d'autres appareils.
  11. Salut ! À quoi ça sert de mettre du lait avec ses céréales si c'est pas pour les tremper ? Donc je les mets avant le lait pour qu'elles soient imprégnées en le versant. Ça évite qu'elles flottent d'un seul bloc à la surface et que ça fasse — plouf ! — quand je les remue au risque de mettre du lait partout !!! Raaah !!! Oui, bah c'est du lait de céréales ou du lait végétal, quoi ! Chez moi, boisson végétale, ça peut être n'importe quoi : jus d'herbe, de fruit, de légume (soupe), ou sirop de fruit… C'est trop vague, j'ai l'impression d'entendre une formule commerciale ou administrative.
  12. LOL! Mince alors, si on peut pas rigoler un peu… Je ne veux pas que ça débouche sur une dispute, hein ! Ah oui mais non, la domotique, je préfère pas m'y mettre : il paraît que ça rend encore plus mou et dépendant qu'on est déjà.
  13. Tu réponds : Ok, plus de guirlandes de Noël. À part pour faire le kéké, ça sers à quoi ? C'est comme les bougies, l'encens, les napperons, c'est des trucs de kéké tout ça ! Arf ! Mince alors ! Tu veux parler de quelle machine ?
  14. Tu veux que je les liste tous ? Alors on dois pas réfléchir : Quand on a bu du stroh ou ce genre de boisson alcoolisée. Quand « toute façon c'est trop tard, b de m* !!! » … Profit ! Bon, après, faut lister les exceptions aussi… Moralement, je dirais qu'on doit toujours réfléchir. Si on ne peut pas pendant, il faut prévoir avant. Si pas prévu, faire au mieux. Mais dans le corps armé, on est sensés avoir tout prévu. Dans le domaine de la défense, prévoir, c'est un peu la base… * Oui, je censure avec des étoiles de mer, c'est plus joli.
  15. Tu pompes ? Hein ??? Hé ! Le tuto sur le watercooling, c'est pas ici !!! D'un point de vue moral, ça n'est pas forcément le cas. Mais si le système est fait pour que ce soit ainsi, on n'a pas vraiment le choix. On frise la caricature, là… Il ne faut quand-même pas généraliser la majorité des cas à cette situation. Bah écoutes : que ce soit avant ou pendant, l'essentiel, c'est d'avoir pu envisager les risques ! Dans le cas contraire, je ne crois pas que ce soit un principe prudent de réfléchir seulement après l'action.
  16. Pour ça, j'ai une méthode : tu lui dis « toi qu'es compétente en matière de déco ( ), tu ne penses pas qu'un ruban à LED ferait un effet sympa dans cette tour toute morne en apparence ? » et tu lui propose de choisir dans une liste que tu as toi-même sélectionnée. Le principe, c'est de lui donner l'impression que l'idée vient d'elle. Mais bon… Il y a le risque qu'elle se rende compte de la manœuvre. Et dans ce cas-là, c'est cuit de chez cuit.
  17. Tu veux dire que les pressions exercées n'ont jamais été déterminées/déterminables ? J'en doute. Je ne connais pas ce cas. En tout cas pas assez pour me faire un avis. La précipitation est une circonstance atténuante. Dans la sécurité, on est bien les premiers à savoir que la réflexion dans le feu de l'action n'est bien souvent même plus possible. Ça n'est quasiment plus que de l'ordre du réflexe. La loi est bien inadaptée sur ce point en France. Je crois qu'on en avait déjà parlé avec @safami et @jeanclaude34. Où s'arrête l'obligation d'obéir ? Bah je viens de l'expliquer : aux limites fixées par le rôle. Et c'est là qu'on se rend compte de la responsabilité, de l'enjeu à pinailler sur ces questions. Si le rôle est mal définit, on court un risque énorme. Non, je ne crois pas que l'armée autorise le jugement personnel à tout va. Sinon, j'imagine mal le hippie dire : « objection de conscience ! » lorsque son sup exige qu'il tire sur une menace imminente en contexte de guerre. Il y a un impératif de rapidité et d'unité dans « le corps armé ». Le système hiérarchique n'est pas là pour faire joli : l'utilité première est la rapidité à prendre des décisions de qualité dans la défense (d'où l'élitisme pour donner le rôle aux meilleures compétences) et le maintien de la cohésion face aux situations de crise. Je ne crois pas que tu aies le droit de discuter les ordres dans un contexte d'urgence dans ce milieu. Je trouve ça normal. Mais ça ne dois pas t'empêcher de les refuser sur un cas où tu as les moyens de constater avec évidence que l'ordre est abusif ou invalide. C'est comme la confiance. Tu n'as pas le droit de médire sur tes sup en l'absence d'un danger (même si c'est des choses vraies), sinon tu casses la confiance et donc la cohésion, tu l'empêche de jouer correctement son rôle. Et je trouve ça légitime comme exigence, même si ça peut surprendre au premier abord. Après, je suis loin d'être expert en droit des armées.
  18. Le piège est surtout dans la question « j'obéis ou pas ? ». Sinon, la réponse apparaît évidente quand on lit l'exposé. En gros, ça dépend de plein de choses ? Non, là c'est très clair. C'est vrai que c'est délicat si la direction donne un ordre que ton supérieur direct contredit. D'un côté, il est plus proche du terrain pour juger, d'un autre côté, il manque de recul. Donc dans ce genre de cas où je n'ai pas les moyens de trancher, j'obéis au supérieur direct. C'est sa responsabilité même si c'est toi qui fais l'acte. Par contre, si tu as les moyens de juger, c'est différent ! En l’occurrence, je trouve que c'est très clair : Ton sup. te demande de faire une faute grave alors que lui-même a pour mission l'opposé. Même si tu n'as pas les capacités de discerner exactement les éléments comme je l'explique plus loin, tu es capable instinctivement de comprendre qu'il n'a pas le droit de te demander ça. Sinon, tu te laisses emporter par tes émotions. Ou alors tu t'en fiche. Bon alors comme j'aime la précision, je te fais la démo complète : L'autorité est inscrite dans le rôle donné. Sortie du rôle, l'autorité n'existe pas. Si un gendarme ordonne à un ouvrier cuistot de mettre plus de sel dans une marmite, par exemple, son « ordre » n'en est pas un. Je ne crois même pas qu'on puisse parler d'abus d'autorité : l'injonction est déplacée, on peut même qualifier ça de « désordre ». (D'où le piège dans la question.) Donc si un supérieur t'enjoins à faire un acte, non plus extérieur au rôle, mais opposé frontalement à son rôle et au tien, tu as le DEVOIR de le refuser. Même s'il te fait les gros yeux ! En fait, ton sup. commet une faute grave, en plus d'un abus d'autorité. Tu dois refuser son injonction par obéissance (à ton institution, à ton engagement). Bref ! Ça c'est la théorie. Quand tu te fourres dans une institution où, de fait, tu n'a pas de possibilité de dénonciation ou de recours légal pour refuser une telle injonction… bah t'es bien obligé de dire amen.
  19. Attention à la distorsion : sur certaines imprimantes, je me retrouve avec un décalage d'un millimètre et demi. Pas cool !
  20. Ça alors ! Une partition cachée sans le vouloir. En informatique, le plus incompréhensible est possible ! Fais une sauvegarde tant que ça marche (si c'est pas déjà fait), parce que là, je pense qu'il y a un risque que ça recommence.
  21. Anéffé ! Moi j'ai un autre exemple de manque de recul émotionnel dans un jugement : l'influence du charisme. Admettons que j'exerce dans le cadre d'une mission dont le rôle est de faire respecter l'ordre public, et que mon supérieur (dans cette même mission) me demande d'exécuter une incivilité évidente, qui provoque le désordre public. J’obéis ou non ? (tôssion, il y a un piège… et un troll aussi ) J'adore ce genre de question. La religion n'a pas le monopole du sectarisme pour déboucher ainsi sur la guerre. C'est l'idéologie qui est sectaire. Combien de croisades sont menées pour l'idéologie ? Le communisme par exemple, est tout autant à craindre qu'une religion violente et aliénante dont je vous laisserai le choix de la désigner. J'ai un vieux bouquin d'histoire sur les sectes et leurs ramifications. Je l'ai trouvé passionnant. Mais dans l'histoire des erreurs, c'est sur la philo surtout, que je trouve l'étude la plus intéressante. Quand tu as la capacité d'abstraction qui te permet d'aborder ce genre de sujet, ça te permet de comprendre plein, plein, plein d'erreurs. Tiens, par exemple, l'erreur à la base du racisme, c'est un raccourci : faire un jugement général d'après un élément particulier.
  22. Faiblesse du système judiciaire, parce qu'il n'a pas les moyens de connaître tous les éléments. Il y a un risque d'erreur évident. Mais ce manque de données n'a rien à voir avec l'objectivité. La loi doit d'abord juger l'acte en soi. C'est super important au niveau public : si on juge une personne au seul regard de son cas, et qu'on minimise ainsi la peine, en oubliant l'exemple que ça donne, le public regardera cette décision comme générale : cela peut faire croire aux gens que l'acte est "en général et en soi" faiblement réprimé.
  23. C'est très drôle, en effet. Heureusement que c'est pas un spot d'ambiance. T'imagines : avec ce genre de matos, tu rates une fois sur deux tes soirées.
  24. Ah ! Je ne suis pas d'accord du tout. Edit : en fait, si. Je crois que tu veux parler d'objectivité plutôt. La neutralité, c'est l'absence de décision, de jugement. Exemple : Wikipédia n'a pas pour but d'être objectif (recherche de justesse/vérité), même si c'est souhaitable, mais a pour but d'être neutre (en exposant l'info, les avis sans jugement de valeur). L'objectivité d'un jugement est impératif pour qu'il soit juste. C'est indubitable. Ok, on tombe bien d'accord : tu parles plutôt de sensiblerie ou de manque de maturité émotionnelle. Parce que si tu contrôle tes émotions, tu ne vas pas tomber dans le panneau. Tu prendra du recul pour faire la différence entre l'acte de voler (en soi répréhensible), les circonstances (plus ou moins atténuantes ou aggravantes), la personne (son vécu, son rôle (grade, responsabilités), sa culture, etc.), et son intention. Tout ça entre en jeu dans un jugement objectif visant la justice. Donc pour le même acte, tu ne punira pas de la même façon selon le contexte. C'est évident. En effet, si tu te laisses guider par les émotions, et que tu ne prends pas le recul nécessaire pour les dépasser, le jugement est subjectif, et non objectif. En gros : c'est à la tête du client.
  25. Le PoissonClown

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