Bonjour maximushugus, merci de t'intéresser dans mon projet.
Oui, c'est la configuration tout à fait.
Je l’ai essayé avec comme routeur :
Un TP-link M7350, petite boite mobile avec carte SIM 3G/4G et AP Wi-Fi ;
Un Huawei B395s-12, autrement connu comme Speedport LTE II, un routeur stationnaire (pas de batterie), avec 4 port Ethernet et Carte SIM, 3G/4G ;
Mon routeur maison, un ASUS RT68U, dual-WAN, dont un lien Wi-Fi vers un point de distribution d’Ozone, 2Mpps/256kbps, et l’autre un MikroTik SXT-LTE : une boite étanche avec routeur (RouterBoard), modem 4G LTE, 1800 et 2600 MHz et antenne directionnelle intégré, monté sur un mat au-dessus de mon toit, qui capte le réseau 4G de Free.
Les premiers routeurs j’ai essayé avec SIMs d’Orange et Free.
Dans chaque cas, la caméra se connecte en Wi-Fi au routeur ainsi que mon PC (Win10) et mon téléphone Samsung S7. Tous les combinaisons routeur/SIM donnent accès à l’Internet.
Tous les routeurs sont en mode NAT. Le réseau ‘externe’ d’Ozone, d’Orange et de Free ont des adresse privé, c’est-à-dire adresses qui ne sont pas routable par Internet (comme 10, …, 192.168,… etc.), alors il y a forcement des NAT des fournisseurs à traverser.
Les caméras de sécurité sont utilisées par beaucoup de personnes privées, mais normalement sur un accès ADSL ou fibre. Là ça semble de marcher. La question chaude est : est-ce qu'on faire le même sur les réseaux mobiles ? J’ai l’impression forte que non.
Je pense que ce n'est pas une technique, mais de politique des FAI mobiles, qui ne veulent pas qu'on lance des serveurs sur leur réseaux mobiles, craignant que ça génère trop de trafic.
Ce que je cherche est qq qui peut me dire : « non, c'est impossible / interdit / on vous bloque » OU « oui, c'est possible, je l’ai fait et ça marche jusqu’à ce jour » OU encore « oui, mais ça vaut un forfait / contrat spécial ».
Dans le cas « oui » on parlera ensuite de la question « comment ».
Pour répondre à tes questions : J’ai pu observer dans mon ASUS que la caméra à crée trois ports ouverts par biais de uPNP, dont 80. (Mon router lui-même n’est pas configuré pour accepter des connections sur 80 d’extérieur). J’ai fini par définir la caméra comme « serveur » : dans ce cas tous sessions initiées depuis l’internet sont envoyé vers l’IP interne de la caméra. Même ça ne joue pas. Conclusion : le blocage se trouve extérieur de mes équipements.
Oui, DDNS marche, mais pour beaucoup d’essais j’ai pris l’adresse externe indique par des sites externes comme www.yougetsignal.com/tools/open-ports/, pour être sûre que ce n’est pas un problème de synchronisation du DDNS (en faisant ses tests, on change trop vite d’adresse externe pour que les DNS peuvent suivre.)
Mis-à-jour par rapport au projet. Demain trois jeunes Gypaètes barbus (une espèce de vautour, spécialisé dans la destruction des os (ils les mangent !) seront placés dans une petite grotte dans la falaise à 2 km de ma maison. Ce matin j’ai monté la haute pour installer la caméra, avec un antenne Wi-Fi directionnelle de 19dB. Avec ça, on arrive à capter le réseau de la caméra à l’observatoire en face (une cabane), une distance de 400 mètre selon Google Earth. Avec smartphone ou tablette, on peut visionner les flux de la caméra, lui diriger (PTZ) et configurer (allas, sans mot de passe spécial). Ça donne les observateurs (ornithologues, stagiaires et bénévoles) qui vont observer les poussins pendant 4-6 semaines pour registrer leur comportement jusqu’au jour qu'ils s'envolent. Avec la caméra, ils ont un instrument de plus pour faire les observations et ils peuvent enregistrer les moments d’activités remarquables. Suivez le projet sur www.villeperdrix.fr.
Malheureusement, on n’a pas réussi de faire les flux vidéo en temps réel disponible pour tout le monde .